Eugenia de los Reyes, sa mère, et José
Galván, son père, étaient deux danseurs
sévillans réputés et il les accompagnait
souvent dans les fêtes ou les cabarets
dédiés au flamenco.
Les vedettes du Betis*
faisaient rêver le gamin de Séville mais le
flamenco...
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Eugenia de los Reyes, sa mère, et José
Galván, son père, étaient deux danseurs
sévillans réputés et il les accompagnait
souvent dans les fêtes ou les cabarets
dédiés au flamenco.
Les vedettes du Betis*
faisaient rêver le gamin de Séville mais le
flamenco n’allait pas tarder à le rattraper.
En 1990 - il a tout juste 17 ans - Israel
Galván opte pour la danse.
Quatre ans plus
tard, il intègre la Compañia Andaluza de
Danza de Mario Maya.
L’année suivante,
il reçoit à Cordoue, son premier prix de
flamenco.
Beaucoup d’autres récompenses
vont jalonner sa carrière: il devient la
coqueluche des critiques.
En 1998, il présente à l’occasion de la
biennale de Séville, le premier spectacle
conçu avec sa propre compagnie: ¡ Mira!
Los zapatos rojos.
La pièce, mise en scène
par Pepa Gamboa, est saluée comme
une révolution dans l’univers très codé du
flamenco.
Il récidive deux ans plus tard
avec La Metamorfosis, d’après l’œuvre de
Kafka.
C’est en 2001 à Marseille que le
public français découvr
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