LA MÈRE DUBROCA DE NAY (1771-1857)
À travers la tourmente révolutionnaire
Sœur Marie-Ancilla, o.p.
Le monastère de Nay
Lorsque1
éclata la Révolution de 1789, le monastère de Nay était très fervent et prospère ; la
communauté se composait de dix-huit sœurs2...
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LA MÈRE DUBROCA DE NAY (1771-1857)
À travers la tourmente révolutionnaire
Sœur Marie-Ancilla, o.p.
Le monastère de Nay
Lorsque1
éclata la Révolution de 1789, le monastère de Nay était très fervent et prospère ; la
communauté se composait de dix-huit sœurs2
: les Mères d’Orticos, de Sainte-Colombe, de
François de Camps, de Lagarrrigue, de Castelbajac, de Cours, Marie Philippe de Lannes,
Delpech3
; les sœurs Saint-Michel de Capdebosq4
, Marie Lacroust5
, Madeleine Oustalot6
, de
Pescatelle, de Villeneuve7
, Saint Joseph, sœur de Brunet (ou Brusset), Jeanne Dubroca,
Jeanne Lasserre novice simple et Marie Dencausse8
converse.
Deux biographies de l’une d’entre elles, la M. Dubroca, nous sont parvenues. La première est
une copie d’un document de Nay intitulé : « Monastère des Dominicaines de Nay, Révolution
1793 » : elle a été envoyée à Mauléon par une sœur de Nay9
. La deuxième, écrite par sœur
Marie-Agnès de Mauléon, s’inspire de la première — elle en est même une copie en maints
passages1
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