COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE LA FNME-CGT DU 4 AOÛT 2014
Depuis avril 2014, les syndicats du CEA et la CGT en particulier ont régulièrement alerté les pouvoirs publics, les
élus et la population sur les risques inhérents à un arrêt définitif -fin 2015- du...
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE LA FNME-CGT DU 4 AOÛT 2014
Depuis avril 2014, les syndicats du CEA et la CGT en particulier ont régulièrement alerté les pouvoirs publics, les
élus et la population sur les risques inhérents à un arrêt définitif -fin 2015- du réacteur de recherche OSIRIS du
CEA Saclay (91). Ce réacteur permet de mener des recherches en lien avec la sûreté nucléaire. Il produit surtout
directement ou indirectement, des radioéléments artificiels comme le technétium 99m, nécessaires au traitement
de certaines maladies et indispensables à la détection de certaines tumeurs cancéreuses et de certaines
conséquences de maltraitance chez l’enfant. Arrêter OSIRIS avant que le réacteur RJH, à Cadarache (13)
puisse démarrer, vers 2020, pose un important problème de santé publique. En effet, OSIRIS est l’un des rares
réacteurs au monde, à pouvoir produire des radioéléments à usage médical, alors même que les réacteurs
existant ailleurs au niveau mondial, seront à l’arrêt définitif ou pour ma
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