ÉDITORIAL
C’est dans l’ordre de la démocratie représentative que la
parole critique devra être acceptée, suscitée.
(page 48 du projet municipal de la gauche amiénoise)
Notre journal suscite d’étranges réactions au sein de
la direction municipale.
Au...
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ÉDITORIAL
C’est dans l’ordre de la démocratie représentative que la
parole critique devra être acceptée, suscitée.
(page 48 du projet municipal de la gauche amiénoise)
Notre journal suscite d’étranges réactions au sein de
la direction municipale.
Au début, ce fut le silence le plus
complet.
On faisait comme s’il n’existait pas mais l’on
pouvait constater, à certaines phrases prononcées par
des adjoints, qu’ils le lisaient avec une attention si grande
qu’ils avaient fini par le connaître par cœur.
Malheureusement cela ne les a pas beaucoup incités à passer à
l’action.
.
.
Depuis notre sortie en kiosques et notre installation
progressive dans le paysage politique amiénois, nous
sommes confrontés à une hostilité de plus en plus vive de
la part de certains élus de gauche qui considèrent notre
journal comme un adversaire et non comme un apport
indispensable à la réalisation de notre projet municipal.
C’est le maire lui-même qui montre l’exemple en nous
insultant en pleine assemblée le
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